Se couper au couteau fait un mal de chien. Mais avoir le
cœur brisé c’est encore pis. C’est une douleur généralisée, matérielle et
immatérielle, que l’on porte dans le corps et qui atteint l’esprit. C’est
comme-ci l’on agonisait alors que le psychisme est dans un état de pleine
conscience et le corps en pleine forme.
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