Lorsque le système s’accapare enfin de l’individu pour
lequel il a été assigné, celui-ci réalise alors le grand bon qui fera de lui
une personne épanouie, sans considération des biens matériels ou des éventuels
déboires amoureux. Car, l’être retrouve son essence, ce qu’il est réellement en
profondeur. Et ce qu’il est en surface est le prolongement de ce qu’il est au
fond de lui.
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