Le dernier album de Mariah Carey a bénéficié d’un succès
d’estime. Les critiques excellentes qu’il a reçues n’ont pas empêché le public
de le bouder. La faute à la presse people coupable de répandre massivement une image
écorchée de la diva, une orientation éditoriale à l’origine du désintérêt du
public pour la « songbird supreme». Mais, finalement, après avoir écoulé
plus de 200 millions d’albums, est-ce que des ventes faibles a encore toute son
importance pour Mariah Carey ? Pour Balthazar, la chanteuse a atteint un
stade où la réalisation d’un album relève du plaisir de vaquer à sa passion plutôt
que d’obéir à des impératifs commerciaux.
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