Ce n’est pas facile de vivre dans l’extrême pauvreté, d’être
famélique et de se tuer au travail pour pouvoir rembourser les sommes
faramineuses que l’on doit aux banques et à des personnes. À présent, ces circonstances
pénibles, cette période obscure de sa vie, n’est plus qu’un mauvais et lointain
souvenir pour Balthazar. Il n’en demeure pas moins qu’elle a laissé des
séquelles psychologiques et physiques. Notamment, la violente douleur morale qu’il ressentit
durant cette phase de son existence, l’état de terreur presque pathologique
dans lequel il était plongé, ont tordu ses traits.
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