Si au moins ils lui foutaient la paix

Balthazar n'a rien demandé à ces personnes ! Lui les fuit comme la peste tandis que eux semblent s'accrocher à ses talons. Il n'en veut plus, il veut les rayer définitivement de sa vie. Il les a déjà rayés de son coeur et les a ôtés de son esprit. Dans ses pensées et pour ses émotions, ils ne forment que le néant, l'inexistence, le vide. Mais il ne peut malheureusement pas les supprimer physiquement. Ce serait tellement bien. Car il faut toujours qu'il y en ait qui le contacte, le recontacte, le sollicite. De vraies vermines ! Balthazar voudrait juste savourer sa solitude et rien que sa solitude. Qu'on lui fiche la paix !

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