Et voilà, comme je l'avais prévu hier soir, lorsque JL m'a annoncé sa malade et son retrait du monde des affaires, mon cerveau a cogité toute la nuit. Résultat, j'ai eu un sommeil agité, j'étais endormi mais pas mon inconscient. En plus, j'ai eu la très mauvaise idée de boire beaucoup d'eau dans la soirée, ce qui a engendré des envies intempestives d'aller uriner en pleine nuit, m'obligeant très souvent à me réveiller. Résultat, mon réveil à 9h s'est accompagné d'un mal de tête déjà avancé qui s'est très bientôt transformé en migraine... Pour couronner le tout, je me suis mis en tête d'ignorer mon bol de café habituel car j'ai lu quelque part sur le Net qu'à force de consommer du café, le cerveau développe une résistance contre la caféine ce qui réduit son efficacité. Et j'ai aussi appris sur le net qu'une personne dépendante du café (ce que je suis) peut recevoir en cadeau un gros mal de tête s'il s'avise à ne pas boire son café quotidien... Une mise en garde que je n'ai pas respecté ce matin et arrivé donc ce qui devait arriver : sommeil perturbé, inconscient en proie à des agitations nocturnes, absence de dose de caféïne = mal de tête insupportable. J'avais beau terminé ma boîte de paralyoc, rien n'y fit. Ma céphalée aiguë continua de me torturer jusqu'en fin d'après-midi où, miraculeusement, elle disparu progressivement. Après avoir avalé mes vitamines, je me mets au travail ce soir jusqu'au petit matin. Je pense souvent à mon collaborateur et chaque fois que je pense à lui, mon coeur se serre. Je ne veux pas qu'il meurt durant son traitement.
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