Un homme de 42 ans en train de travailler devant son ordinateur portable, sur un bureau en désordre. Il y a des livres autour de lui. |
Pendant longtemps, j'ai fait l'éloge de l'oisiveté. Aujourd'hui, étant donné qu'il ne me reste que 3 ans à vivre, je décide de mettre à profit chaque minute et chaque seconde pour gagner un peu d'argent. Durant des années, l'argent ne comptait pas pour moi. Ce qui m'était cher, c'était le temps que je passais avec mes amis, ma soeur et mes parents. Chaque fois que j'étais avec eux, j'éprouvais un bonheur suprême. J'ai bien profité de leur présence, de leur existence, de leur affection. Aujourd'hui, je les aime toujours autant et ils m'apprécient toujours beaucoup. Mais je dois leur laisser quelque chose dans deux ou trois ans quand je mourrais. Et pour l'heure, la seule chose de concrêt que je vois c'est l'argent, quand bien même ils ont en. Donc je dois travailler. Tant que je reçois des commandes, je dois les honnorer. Et s'il arrive que j'en ai pas, alors soit j'en chercherais, soit je lirais des ouvrages pour améliorer mes compétences en écriture. J'ai d'ailleurs commencer à lire Le petit bon usage de la langue française Grammaire de Cédrick Fairon et Anne-Catherine Simon, d'après l'oeuvre de Maurice Grevisse. C'est dur de revenir à la lecture ! Revenir à cette habitude me fait ressentir que j'ai embourbé mon cerveau durant toutes ces années d'irresponsabilité.
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